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What it means to be a cook | Un cuisinier, qu’est-ce au juste?

Provided by / Fourni par: Sean Osztian
(Left to right): Chief Petty Officer, 2nd Class (CPO2) Daniel Faucher, Warrant Officer (WO) Sean Osztian, Petty Officer 1st Class (PO1) Edward Smith and Curtis Mercer volunteered for the We Care 2017 Christmas dinner last year and fed Barrie’s homeless and less fortunate.
(De gauche à droite): Premier Maitre de 1re classe (PM2) Daniel Faucher, Adjudant (Adj) Sean Osztian, Maitre de 1reclasse (M1) Edward Smith and Curtis Mercer s’est porté volontaire pour le dîner de Noël We Care 2017 l’année dernière et a nourri les sans-abri et les moins fortunés de Barrie.

Behind kitchen doors during mess dinners, luncheons and even on ships in war zones and patrol centres are silent workers with hands that continue to prepare meals to serve the Canadian Armed Forces (CAF).

Cooks have been around serving the CAF for years. They have fed thousands and helped troops stay strong during dark times. So what does it mean to be a cook?

According to Warrant Officer (WO) Sean Osztian, most people don’t think about details when preparing a meal. For instance, most people don’t consider certain portions that they have to serve and how to serve it. Osztian has been a cook for over 20 years. As a manager, he makes sure that cooks know the portion size for each meal and that it’s served properly. Osztian said that organization skills and service skills can make a difference.

“Food is a huge morale booster,” Osztian said. “They come back from a patrol, a firefight, and they would have something really good to come back to and that was the food.”

During his time in Afghanistan, Osztian shared that the best part about his job was being in the kitchen. He came up with theme nights for troops on Wednesdays and created menus.
A social worker once told him that patrol groups would always talk about the food.

“It made me feel like the chief morale officer,” Osztian said.

Curtis Mercer has been a cook for 31 years. He started serving the military in 1987 and he is now teaching students how to be cooks.

“To be a cook has a lot of highs and lows,” Mercer said. “Lows include the atrocious hours that cooks have to work.”

Mercer said that during holidays, cooks who must stay would watch their peers leave base to visit their respective families. In spite of the lows and sacrifices cooks make, Mercer said that being able to feed people, especially during times such as Christmas for instance, is rewarding and provides purpose and meaning. An experience that brought meaning to what they do for a living was when he and Osztian were given the opportunity to facilitate in feeding the homeless and less fortunate in Barrie.

Mercer, Osztian, along with other facilitators helped Mapleview Community Church feed over 300 homeless and less fortunate people. As supervisors, they were also given the chance to not only facilitate, but also volunteer and serve to ensure that those standing in the cold had a good meal.

“Times like this makes it enjoyable,” Mercer said. “That is fulfillment for us.”


Derrière les portes de la cuisine, durant les dîners militaires, à l’heure du lunch, et même à bord des navires dans les zones de guerre et les centres de patrouille, des travailleurs silencieux préparent constamment des repas à servir aux membres des Forces armées canadiennes (FAC).

Depuis des siècles, les FAC font appel à des cuisiniers. Ceux-ci ont nourri des milliers de militaires et les ont aidés à garder leurs forces durant les périodes difficiles. Mais un cuisinier, qu’est-ce au juste?

Selon l’adjudant (Adj) Sean Osztian, la plupart des gens ne pensent pas aux détails lorsqu’ils préparent un repas. Par exemple, ils ne tiennent pas compte des portions à servir et de la façon de le faire. L’Adj Osztian est cuisinier depuis plus de 20 ans. En tant que gestionnaire, il faut s’assurer que les cuisiniers connaissent la taille des portions pour chaque repas et que celui-ci est servi de façon appropriée. L’Adj Osztian a indiqué que les compétences organisationnelles et les compétences en service à la clientèle peuvent faire une différence.

« La nourriture est un important moyen de rehausser le moral », a souligné l’Adj Osztian. « Après une patrouille ou un échange de tirs, les militaires reviennent vers quelque chose de très bon, c’est-à-dire un repas. »

Durant son affectation en Afghanistan, l’Adj Osztian a mentionné que l’aspect le plus agréable de son travail était de se trouver dans la cuisine. Il a organisé des soirées thématiques pour les troupes le mercredi et a créé des menus. Un travailleur social lui a déjà dit que les groupes de patrouille parlaient constamment de la nourriture.

« Je me sentais comme l’officier responsable du moral », a souligné l’Adj Osztian.

Curtis Mercer est le plus vieux cuisinier de la base. Il occupe ces fonctions depuis 31 ans. Il a commencé à préparer les repas pour les militaires en 1987 et enseigne maintenant la cuisine aux stagiaires.

« Être cuisinier comporte des avantages et des inconvénients », a indiqué Mercer. « Les inconvénients comprennent les heures atroces durant lesquelles les cuisiniers doivent travailler. »

Mercer a mentionné que durant la période des Fêtes, les cuisiniers qui doivent être sur place doivent regarder leurs pairs quitter la base pour visiter leurs familles respectives. Malgré les inconvénients et les sacrifices des cuisiniers, Mercer a affirmé que le fait d’être en mesure de nourrir les gens, surtout durant des périodes telles que les Fêtes, est valorisant et donne un objectif et une signification. Mercer et l’Adj Osztian ont eu l’occasion de contribuer à nourrir les sans-abris et les moins fortunés à Barrie; cette expérience a donné un sens à leur travail.

Mercer et l’Adj Osztian, de même que d’autres intervenants, ont aidé la Mapleview Community Church à nourrir plus de 300 sans-abris et personnes moins fortunées. En tant que superviseurs, ils ont également eu l’occasion non seulement d’aider à la préparation des repas, mais aussi de faire du bénévolat et de les servir pour s’assurer que les personnes qui étaient dehors puissent avoir un bon repas.

« Des occasions pareilles rendent le travail agréable », a indiqué le Mercer. « Pour nous, il s’agit d’un accomplissement. »