Home National National Wildlife Week: A history, an action plan and COVID-19

National Wildlife Week: A history, an action plan and COVID-19

National Wildlife Week each year in Canada falls on the week containing 10 April, and citizens across the country are encouraged to step into nature, learn a little more and help preserve the habitats near them. This year, it is observed from 6-10 April.

The celebration takes place during this week in honour of the late Jack Miner (“Wild Goose Jack”), a Canadian conservation movement founder whose birthday was 10 April. 

Born in 1865, Miner is responsible for the creation of one of North America’s earliest bird sanctuaries. He also banded over 90,000 Canada geese and ducks, observing and recording their migratory patterns as a respected researcher. 

In the early 1900s, Miner’s focus shifted to conservation, where he “understood that humans were responsible for declining wildlife populations and believed [we] had a responsibility to fix them” (Canadian Encyclopedia).

In accordance with Miner’s values, the Canadian Wildlife Federation encourages all Canadians to take part in the ‘Be One with Nature Challenge’ – which can be done all year round! 

Don’t know what to do?

  • Learn more about the wildlife near you and the places those animals call home.
  • Explore nearby nature; just make sure to stay 2m apart from others who are outside. 
  • Post your photos and actions online with the hashtag #DoMoreForWildlife.
  • Take on a project that will benefit our country’s wildlife
  • Make a donation
  • Enter the Canadian Wildlife Federation’s contest for a chance to earn prizes
  • Learn more here!

As COVID-19 continues to affect the lives of individuals across the globe, the human population has seen environmental changes that haven’t been witnessed in years. 

The devastating effects of the pandemic, of course, must not be ignored, and citizens should continue to do everything in their power to social distance and slow the spread – that doesn’t mean we can’t appreciate the unintended environmental benefits. 

Quarantines have reduced pollution, greenhouse gas emissions, and ‘foot’ traffic globally. 

Here’s a look Mother Nature’s most recent phenomena: 

  • The usually murky Venice Canal in Italy has been running clear since the country’s lockdown came into effect – now swimming fish can be seen easily! (Global News)
  • Nearly unheard of, a dolphin was filmed swimming into one of the largest seaports in the Mediterranean Sea Basin, the post of Cagliari (the Independent).
  • Nitrogen dioxide and carbon dioxide (greenhouse gases) levels over China have dropped substantially, about 25 per cent, since their quarantine (NASA).
  • The same greenhouse gas emission levels has been observed in Italy, and removing this pollutant makes the air cleaner and less harmful to all species (NASA, NBC).
  • In large American cities, such as New York, San Francisco and Seattle, social distancing measures have impacted the average concentration of fine particulate matters: tiny particles in the air that can be harmful when breathed in. According to Earth Economics, an environmental non-profit, levels have dropped 28-40 per cent depending on the city. They even created an online dashboard for people to track air quality!
  • There have been fewer turtle deaths in Ontario – as it turns out, many are injured or killed by cars, and reduced commuting to offices means fewer cars on the road (CBC). 

According to the CBC, human behaviour has a significant impact on the lives and actions of animal species. So although we are seeing these positive changes in wildlife and pollution levels, they are not permanent. They are caused by quarantine and social distancing, and ultimately COVID-19. When this pandemic has passed, the carbon emissions will most likely resume. 

Take these signs as a lesson – one that emphasizes the need for human action in combating the effects of climate change and take a moment to celebrate National Wildlife Week!


Semaine nationale de la faune : Une histoire, un plan d’action et la COVID-19 

Chaque année, au Canada, la Semaine nationale de la faune a lieu dans la semaine où tombe le 10 avril. On encourage les citoyens partout au pays de faire une incursion dans la nature, d’en apprendre un peu plus sur celle-ci et d’aider à préserver les habitats près d’eux. Cette année, la Semaine est célébrée du 6 au 10 avril. 

La célébration a lieu à ce moment afin de rendre hommage au feu Jack Miner (Wild Goose Jack), un des fondateurs du mouvement de conservation canadien dont l’anniversaire est le 10 avril.   

Né en 1865, Miner est responsable de la création de l’un des premiers sanctuaires d’oiseaux en Amérique du Nord. Il a également bagué plus de 90 000 oies et canards du Canada, ainsi qu’observé et enregistré leurs habitudes migratoires en tant que chercheur respecté.   

Au début des années 1900, l’attention de Miner est passée à la conservation, alors que « il a compris que les humains étaient responsables du déclin des populations animales et croit qu’ils ont aussi la responsabilité de remédier au problème »  (L’Encyclopédie canadienne).

Conformément aux valeurs de Miner, la Fédération canadienne de la faune encourage tous les Canadiens à participer au défi de « rapprochement avec la nature » – qui peut se faire pendant toute l’année! 

Vous ne savez pas quoi faire?

  • Apprenez-en davantage sur la faune près de chez vous et les endroits où habitent ces animaux.
  • Explorez la nature à proximité; assurez-vous de demeurer à 2 m des autres personnes qui sont à l’extérieur. 
  • Affichez vos photos et gestes en ligne avec le mot-clic #FairePlusPourLaFaune.
  • Entreprenez un projet qui profitera à la faune de notre pays 
  • Faîtes un don
  • Participez au concours de la Fédération canadienne de la faune et courrez la chance de gagner des prix 
  • Apprenez-en davantage ici

Alors que la COVID-19 continue d’avoir une incidence sur la vie de personnes partout dans le monde, les humains ont constaté des changements environnementaux qui n’ont pas été vus depuis des années. 

Les effets dévastateurs de la pandémie, bien sûr, ne doivent pas être ignorés, et les citoyens doivent continuer de faire tout ce qu’ils peuvent pour observer l’éloignement social et ralentir la propagation – ce qui ne signifie pas que nous ne pouvons pas apprécier les avantages environnementaux imprévus.  

Les quarantaines ont réduit la pollution, les émissions de gaz à effet de serre et la circulation piétonne dans le monde. 

Voici un aperçu des phénomènes les plus récents de dame nature : 

  • En Italie, le canal de Venise habituellement brouillé s’est éclairci depuis l’entrée en vigueur de l’isolement dans le pays – on peut maintenant voir clairement des poissons qui nagent! (Global News
  • Phénomène rare : Un dauphin a été filmé dans un des plus grands ports du bassin de la mer Méditerranée, le port de Cagliari (the Independent).
  • Les niveaux de dioxyde d’azote et de dioxyde de carbone (gaz à effet de serre) au-dessus de la Chine ont baissé considérablement, d’environ 25 p 100, depuis la quarantaine dans le pays (NASA).
  • Les mêmes niveaux d’émissions de gaz à effet de serre ont été observés en Italie, et le retrait de ces polluants rend l’air plus propre et moins nocif pour toutes les espèces (NASA, NBC).
  • Dans les grandes villes américaines, telles que New York, San Francisco et Seattle, les mesures d’éloignement social ont eu une incidence sur la concentration moyenne des particules fines : les petites particules dans l’air qui peuvent être nocives lorsqu’on les respire. Selon Earth Economics, une organisation environnementale sans but lucratif, les niveaux ont baissé de 28 à 40 pour cent selon la ville. L’organisation a même créé un tableau de bord en ligne pour suivre la qualité de l’air!
  • Il y a moins de décès de tortues en Ontario – il s’avère que bon nombre de celles-ci sont blessées ou tuées par des voitures, et la baisse de migration journalière signifie qu’il y a moins de voitures sur la route (Radio-Canada).  

Selon Radio-Canada, le comportement humain a une importante incidence sur la vie et le comportement des espèces animales. Même si nous voyons ces changements positifs sur la faune et les niveaux de pollution, ceux-ci ne sont pas permanents. Ils sont causés par la quarantaine et l’éloignement social et, au bout du compte, par la COVID-19. Lorsque cette pandémie sera terminée, les émissions de carbone reviendront probablement au même niveau. 

Voyez ces signes comme une leçon – une qui démontre la nécessité pour les humains de lutter contre les effets du changement climatique – et prenez le temps de célébrer la Semaine nationale de la faune!

By/Par Zoe Côté