Home CFB Borden ‘Ruck for a Cure’ Raises Thousands for Cancer Care

‘Ruck for a Cure’ Raises Thousands for Cancer Care

Lt Niles carried a 30 lb ruck sack, along with names of 16 Wing members and civilian staff as a way for them to join him on his journey, symbolizing his sharing the burden of those affected by cancer. | Le Lt Niles portait un sac à dos de 30 livres orné des noms de 16 membres de l’escadre et du personnel civil, de façon qu’ils prennent part également au périple, symbolisant ainsi le partage du fardeau des personnes touchées par le cancer. (Photo : Emily Nakeff, Borden Citizen | citoyenne de Borden)

“I feel as ready as I can possibly be,” Lt Aaron Niles said the morning of 10 September, just before setting off on his 30 km trek from Base Borden to Royal Victoria Hospital (RVH) in Barrie. “Emotionally, it is kind of nice to be at this time to finally get started, and I’m excited to start this journey with everyone who’s joining me.”

He began training a little over a month earlier not only to cover the distance, but to do it carrying 30 pounds. The weight symbolized the emotional burden of coping with cancer. For Lt Niles, Public Affairs Officer with 16 Wing at CFB Borden, it’s a weight he’s carried ever since his 4-month-old brother, Sean, was diagnosed in 2010. 

Col Darryl Taylor, 16 Wing Commander (left) and Wing Chief Warrant Officer, Chief Warrant Officer Rusconi (right) joined Lt Aaron Niles, Public Affairs Officer, 16 Wing (centre) on the first leg of his journey.  | Le Col Darryl Taylor, commandant de la 16e Escadre (à gauche) et l’adjudant-chef de l’Escadre, l’Adjuc Rusconi (à droite) se sont joints au Lt Aaron Niles, officier des affaires publiques de la 16e Escadre (au centre) lors de la première étape de son trajet. (Photo : Emily Nakeff, Borden Citizen | citoyenne Borden)

“I wanted to incorporate rucking because it’s about training yourself while carrying a weight to become stronger,” said Lt Niles. “And this [fundraiser] is about moving yourself with the emotional weight, so we come out stronger.”

After three years of treatment, Sean was given just 30 days to live. Miraculously, a new type of chemotherapy gave him the chance he needed for a bone marrow transplant. Today, the 11-year-old is cancer free. Lt Niles knows his brother would not be here today without the care he received, and that not everyone is that lucky. 

“I want to raise funds so that the RVH [and the] Simcoe Muskoka Regional Cancer Centre has more resources to enable better treatment,” said Lt Niles. “Cancer affects us all in a unique way, and we can carry the burden together.”

Lt Niles set off at 0830 hrs and arrived at RVH at 1430, over an hour earlier than expected. Along the way, members from 16 Wing joined him on foot for sections of his journey down County Road 90, helping to carry the weighted ruck sack. Lt Niles’ father checked in and provided water throughout the walk as well and was there to greet him at the finish line with his little brother.  

“It means so much to have the support of our community,” said Ryan McLeod, Fundraising Events Assistant with RVH Foundation. “We rely on community funds to put the best tools in the best hands to support patient care at RVH. And Aaron’s walk really is an incredible endeavour, not just in the physical effort but also just an inspiring commitment to raise funds to support regional patient care.”

Through his Ruck for a Cure, Lt Niles has so far raised $3,730 in support of cancer care at RVH. He’s considering making this an annual initiative to continue working towards his goal of raising $30,000. 

Lt Niles (centre) was greeted at the finish line by his little brother Sean, the inspiration behind this initiative. (Photo submitted by RVH) | Le Lt Niles (au centre) a été accueilli à la ligne d’arrivée par son petit frère Sean, l’inspiration derrière cette initiative. (Photo soumise par RVH)

Donations are still being accepted on the Ruck for a Cure RVH fundraising page. For Lt Niles, it’s all about sharing the burden, and lending whatever support is possible to someone affected by cancer.

“Sometimes support is the best thing you can do,” he said. “Whether it be giving support for myself during this journey or supporting someone who’s been affected by cancer, and that support can just be giving an ear and letting them talk.”

By: Emily Nakeff, Editor


L’initiative « Ruck for a Cure » permet de recueillir des milliers de dollars pour le traitement du cancer

« Je me sens aussi prêt que possible », a déclaré le Lt Aaron Niles le matin du 10 septembre, juste avant d’entamer sa randonnée de 30 km entre la base Borden et l’hôpital Royal Victoria (Royal Victoria Hospital – RVH) à Barrie. « Sur le plan émotionnel, je suis content que ce moment soit arrivé, et j’ai hâte de commencer ce trajet avec tous ceux qui se sont joints à moi. »

Il a commencé à s’entraîner pour l’occasion un peu plus d’un mois auparavant, non seulement dans l’objectif de parcourir la distance prévue, mais aussi pour le faire en portant une charge de 30 livres. Ce poids symbolise le fardeau émotionnel de la lutte contre le cancer. C’est un poids que le Lt Niles, officier des affaires publiques de la 16e Escadre à la BFC Borden, porte depuis que son frère Sean a reçu son diagnostic à l’âge de 4 mois en 2010. 

« Je souhaitais inclure le sac à dos dans l’initiative, car il représente le fait de s’entraîner tout en portant un poids, pour devenir plus fort », a indiqué le Lt Niles. « Cette [collecte de fonds] est une façon d’aller de l’avant avec ce poids émotionnel, pour en sortir plus fort. »

Trois ans après le début de ses traitements, Sean n’avait plus que 30 jours à vivre. Par miracle, un nouveau type de chimiothérapie lui a donné la possibilité de recevoir la greffe de moelle osseuse dont il avait besoin. Aujourd’hui, l’enfant de 11 ans n’a plus le cancer. Le lieutenant Niles sait que son frère ne serait pas là aujourd’hui sans les soins qu’il a reçus, et que tout le monde n’a pas cette chance. 

« Je veux recueillir des fonds pour que le RVH [et le] Simcoe Muskoka Regional Cancer Centre disposent de plus de ressources et puissent offrir de meilleurs traitements, a souligné le Lt Niles. Le cancer nous affecte tous de manière unique, mais nous pouvons en porter le fardeau ensemble. »

Le Lt Niles est parti à 8 h 30 et est arrivé au RVH à 14 h 30, soit plus d’une heure plus tôt que prévu. En cours de route, des membres de la 16e Escadre l’ont rejoint à pied pour certains tronçons de son parcours sur la Country Road 90 et l’ont aidé à porter le sac à dos lesté. Le père du Lt Niles a également pris des nouvelles de son fils et lui a fourni de l’eau tout au long de la marche. Il était là pour l’accueillir à la ligne d’arrivée avec son petit frère.  

« Avoir le soutien de notre communauté, cela signifie beaucoup pour nous », a déclaré Ryan McLeod, assistant aux événements de collecte de fonds de la Fondation du RVH. « Les fonds issus de la collectivité sont essentiels pour que nous puissions mettre les bons outils dans les bonnes mains afin d’améliorer les soins des patients du RVH. La marche d’Aaron est vraiment une initiative incroyable, non seulement au niveau de l’effort physique, mais aussi, et avant tout, il s’agit d’un engagement inspirant pour recueillir des fonds afin de soutenir les soins aux patients de la région ».

Grâce à son initiative Ruck for a Cure, le Lt Niles a récolté jusqu’à présent 3 730 dollars pour le traitement du cancer au RVH. Il envisage d’en faire une initiative annuelle pour continuer à progresser vers son objectif de 30 000 $. 

Les dons sont toujours acceptés sur la page de collecte de fonds « Ruck for a Cure » du RVH. Pour le Lt Niles, l’essentiel est de partager le fardeau et d’apporter tout le soutien possible à une personne touchée par le cancer.

« Parfois, la meilleure chose que l’on puisse faire, c’est d’offrir notre soutien », a-t-il déclaré. « Que ce soit en m’appuyant à l’occasion de cette randonnée ou en apportant votre soutien à une personne qui a été touchée par le cancer – et le soutien peut prendre plusieurs formes : par exemple, tendre l’oreille et écouter ce que cette personne a à dire. »

Par : Emily Nakeff, éditrice