Did you know that Canada History week runs from 1 – 7 July?
We’re taking the opportunity to provide our readers with coffee-break-sized Canadian history lessons.
In the second part of this saga, we will be detailing the history of the CAF: why it was founded, how it has evolved and what it stands for today. Keep reading to learn more in 10 minutes or less!
As a British colony, Canada spent many years without the need for its own military or national defense efforts. That all changed in 1871 when the Treaty of Washington was signed and the British troops occupying Canada were sent back to Europe as a result.
In the absence of these soldiers, Canada was left responsible for its own defense. The Royal Canadian Regiment, Canada’s first militia, was established soon after in 1883 to “protect the homeland and defend British interests.”
The creation of the Royal Canadian Navy followed in 1910, when Britain required colonial support to fight in the First World War.
From 1914 – 1918, a total of 425,000 Canadian soldiers were sent to Europe as part of the Canadian Expeditionary Force, the overseas force fielded by Canada in the First World War. This included naval and land soldiers.
At this point in time, Canada was not in possession of its own military aviation; however, an estimated “25,000 Canadians served as pilots, observers or ground support staff in the British Royal Flying Corps, the Royal Naval Air Service, and after 1 April 1918, the Royal Air Force.”
After the First World War, Canada became part of the Commonwealth and secured a foreign policy that granted it more wartime autonomy from Britain. When World War Two began, the country independently decided to send troops back to Europe, fighting alongside Britain and other Allies.
By 1920, the (Royal) Canadian Air Force had been established. Throughout the next decade, the RCAF was responsible mainly for civil operations, including forest spraying, fire patrol, coastal surveillance, air photography and ambulance flights.
Twenty years later, in 1942 and the heat of the Second World War, the Canadian Army was officially founded.
It continued to develop and grow for the next 25 years until February of 1968, when Bill C-243 (the Canadian Forces Reorganization Act) came into effect.
Referred to as “Unification,” The Royal Canadian Navy, Canadian Army, and Royal Canadian Air Force were combined into one national service: The Canadian Armed Forces.
Canada was – and still is – unique in its decision to unify all branches of its military. Many countries operate without an integrated naval, air and land force.
Since the 1970s, the three branches of our armed forces have been working dutifully to both protect Canada and contribute to peacekeeping efforts around the world.
Bref historique des FAC
Saviez-vous que la Semaine de l’histoire du Canada se déroule du 1er au 7 juillet?
Nous profitons de l’occasion pour proposer à nos lecteurs des leçons d’histoire du Canada le temps d’une pause-café.
Dans la deuxième partie de cette activité, nous présenterons en détail l’histoire des FAC : pourquoi elles ont été fondées, comment elles ont évolué et ce qu’elles représentent aujourd’hui. Continuez à lire pour en savoir davantage en 10 minutes ou moins!
En tant que colonie britannique, le Canada a passé de nombreuses années sans avoir besoin de ses propres efforts militaires ou de défense nationale. Tout cela a changé en 1871, lorsque le traité de Washington a été signé et que les troupes britanniques qui occupaient le Canada ont été renvoyées en Europe.
En l’absence de ces soldats, le Canada était responsable de sa propre défense. Le Royal Canadian Regiment, la première milice du Canada, a été créé peu après, en 1883, pour « protéger la patrie et défendre les intérêts britanniques. »
La création de la Marine royale canadienne a suivi en 1910, lorsque la Grande-Bretagne a eu besoin d’un soutien colonial pour combattre pendant la Première Guerre mondiale.
De 1914 à 1918, un total de 425 000 soldats canadiens ont été envoyés en Europe au sein du Corps expéditionnaire canadien, les forces envoyées outre-mer par le Canada pendant la Première Guerre mondiale. Cette force comprenait des soldats de la marine et de l’armée de terre.
À cette époque, le Canada ne possédait pas sa propre aviation militaire; cependant, on estime que « 25 000 Canadiens servent comme pilotes, observateurs ou agents de soutien au sol dans le Royal Flying Corps britannique, le Royal Naval Air Service, et après le 1er avril 1918, la Royal Air Force. »
Après la Première Guerre mondiale, le Canada a fait partie du Commonwealth et s’est assuré une politique étrangère qui lui a accordé une plus grande autonomie de guerre par rapport à la Grande-Bretagne. Au début de la Deuxième Guerre mondiale, le pays décida indépendamment de renvoyer des troupes en Europe, combattant aux côtés de la Grande-Bretagne et des autres Alliés.
En 1920, l’Aviation royale du Canada était créée. Tout au long de la décennie suivante, l’ARC était principalement responsable des opérations civiles, notamment la pulvérisation des forêts, les patrouilles de lutte contre les incendies, la surveillance côtière, la photographie aérienne et les vols d’ambulance.
Vingt ans plus tard, en 1942 et dans le feu de l’action de la Deuxième Guerre mondiale, l’Armée canadienne est officiellement fondée.
Elles ont continué à se développer et à croître pendant les 25 années suivantes jusqu’en février 1968, date à laquelle le projet de loi C-243 (Loi sur la réorganisation des Forces canadiennes) est entré en vigueur.
Appelées l’« Unification », la Marine royale canadienne, l’Armée canadienne et l’Aviation royale canadienne ont été regroupées en un seul service national : les Forces armées canadiennes.
Le Canada était — et est toujours — unique dans sa décision d’unifier toutes les branches de ses forces armées. De nombreux pays fonctionnent sans une force navale, aérienne et terrestre intégrée.
Depuis les années 1970, les trois branches de nos forces armées travaillent consciencieusement à la fois pour protéger le Canada et pour contribuer aux efforts de maintien de la paix dans le monde entier.
By/Par Zoe Côté