Joanne Beckett and her eight-year-old son Zak./Joanne Beckett et Zak, son fils âgé de 8 ans.
Zakaria receives treatment at Groves Memorial Hospital in Fergus. / Zakaria recevant des traitements à l’hôpital Groves Memorial Community Hospital, de Fergus, en Ontario.
Photos provided by / Fourni par: Joanne Beckett, Facebook
A woman from Barrie is thankful for her “guardian angel”, a military medic who saved her young son’s life after he suffered a head injury at the Elora Gorge.
Joanne Beckett was walking at the gorge with her two children, and boyfriend when she heard the screams of her eight-year-old- son, Zak “Mom, my head!”, a scream she will never forget.
“He was only a couple feet ahead of me. I had turned to help his sister down the last step in the Gorge when I heard him. It only took a second.” When she turned around, she saw her son, Zak, crawling towards her with a large cut down the centre of his scalp, exposing his skull. “It was the worst sight a mother could see,” Beckett said. The gash was approximately 24 cm long, and went from his forehead to the back of his head.
Joanne’s adrenaline took over as she carried her son up sixty steps, while another hiker called an ambulance. Then, her guardian angel appeared.
Nearby, a group of young adults had been rappelling, and one of them happened to be a member of the Armed Forces with medical training.
“He was amazing. He just took over the situation,” Becket said of the soldier, who she estimated to be in his mid-to-late 20s.
The mystery medic quickly took control of the situation. He assessed Zak, and then proceeded to pull a head bandage out of his first aid kit. He applied the bandage to Zak’s head, and finished with a compression bandage. The medic then sat on the grass with Zak’s head against his chest and spoke reassuringly until the ambulance arrived.
“When the ambulance arrived the paramedic marvelled over the amazing job the medic had done,” Beckett said. “The paramedic said Zak could have bled out if it hadn’t been for the medic.”
With everything happening so quickly, Beckett was off in an ambulance before she realized she never got the name of the medic who helped save her son.
In the age of social media, Joanne knew there was a good chance of finding her son’s hero. She wanted to thank him once again for what transpired, and for him to be recognized. Her story amassed over 16,000 shares on Facebook, and she eventually succeeded in finding the medic.
The mystery medic has asked to remain anonymous, which we find to be a true testament to the good-natured human he is; someone who rises to the occasion, not for credit or recognition, but to help, simply because they can.
Une femme de Barrie, en Ontario, est reconnaissante envers son « ange gardien », un technicien médical militaire qui a sauvé la vie de son jeune fils, après que ce dernier eut subi un traumatisme crânien dans l’aire de conservation Elora Gorge.
Joanne Beckett faisait une promenade dans ce parc avec ses deux enfants et son ami de cœur lorsqu’elle a entendu son fils de huit ans, Zak, lui crier d’une voix qu’elle n’oubliera jamais : « Maman, ma tête »!
« Il n’était qu’à quelques mètres devant moi. Je m’étais retournée pour aider sa sœur à descendre la dernière marche de l’escalier menant à la gorge lorsque j’ai entendu son cri. Il n’aura fallu qu’une fraction de seconde. » Quand elle s’est retournée, elle a vu son fils, Zak, qui rampait vers elle. Il avait une lésion si grave à la tête que l’on pouvait voir une partie de son crâne. « C’est la pire chose qu’une mère peut voir », explique-t-elle. La blessure mesurait environ 24 cm de long et s’étendait de son front jusqu’à l’arrière de sa tête.
Une forte poussée d’adrénaline a permis à Madame Beckett de gravir 60 marches en portant son garçon, pendant qu’un autre randonneur appelait une ambulance.
C’est à ce moment que son ange gardien est apparu. Tout près de là, un groupe de jeunes adultes faisait de la descente en rappel. L’un d’eux était membre des Forces armées, et il avait suivi une formation médicale.
« Il a été incroyable. Le jeune soldat, âgé de la mi-vingtaine à la fin trentaine environ, a pris la situation en main », explique-t-elle.
Le mystérieux sauveteur a rapidement pris la situation en main. Il a examiné Zak, puis il a sorti un bandage de sa trousse de premiers soins pour recouvrir sa tête. Il a pansé la tête de Zak, puis il a ajouté un pansement compressif. Il s’est ensuite assis sur le gazon et a maintenu la tête de Zak contre sa poitrine, et il s’est fait rassurant jusqu’à l’arrivée de l’ambulance.
« Lorsque l’ambulance est arrivée, l’ambulancier paramédical s’est émerveillé du travail remarquable que le jeune soldat avait accompli », explique-t-elle. « L’ambulancier nous a dit que sans son intervention, Zak aurait pu mourir d’une hémorragie. »
Puisque tout s’est passé très vite, Madame Beckett était déjà dans l’ambulance lorsqu’elle a réalisé qu’elle ne connaissait pas le nom de la personne qui l’avait aidée à sauver son fils.
À l’ère des médias sociaux, elle savait qu’elle avait de bonnes chances d’être capable de retrouver le héros de son fils. Elle voulait le remercier à nouveau pour ce qu’il avait fait pour son fils, et faire en sorte que le geste qu’il avait posé soit reconnu. Son histoire a été partagée plus de 16 000 fois sur Facebook, et elle a finalement réussi à le retrouver.
Le mystérieux technicien médical a demandé de garder l’anonymat, ce qui démontre une fois de plus à notre avis qu’il est une très bonne personne. Il s’est montré à la hauteur de la situation, non pas pour qu’on lui donne du crédit ou de la reconnaissance, mais tout simplement pour aider, puisqu’il était en mesure de le faire.